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Oscar Wilde a dit : « Le seul devoir que nous avons envers l’Histoire est de la réécrire. » Une action en cours depuis le XXIe siècle concernant le récit de l’histoire de la colonisation. Mais qu’en est-il du legs du colonialisme dans l’art du XXe siècle ? Tel est le sujet de l’exposition « Kirchner and Nolde : Expressionism. colonialism » qui sera montrée à trois endroits, au Statens Museum for Kunst (Copenhague), au Stedelijk Museum (Amsterdam) et au Brücke-Museum (Berlin).

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Sitzende Frau mit Holzplastik (1912), de Ernst Ludwig Kirchner.

© Virginia Museum of Fine Arts

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Untitled (1971), de la série « Searching Journeys #8 », de Daido Moriyama.

Après la Seconde Guerre mondiale, le Japon est occupé par l’armée américaine. Le pays est ravagé et nombre de Japonais n’ont plus rien. C’est dans ces conditions extrêmes qu’émergent deux photographes aux idées et aux styles novateurs, Shomei Tomatsu et Daido Moriyama. La Maison Européenne de la Photographie (Paris, 4e) vous propose une exposition, conçue par ces deux photographes, autour de leurs travaux sur la capitale japonaise.

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Untitled (1971), de la série « Searching Journeys #8 », de Daido Moriyama.

© Daido Moriyama Photo Foundation. Courtesy of Akio Nagasawa Gallery

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Frederiksborg Slot ved Aftenbelysning, de Christen Kobke

Le XIXe siècle marque la chute de la grande puissance danoise, qui va de défaite en défaite. Et pourtant, malgré une situation économique et politique compliquée, cette période montre un épanouissement culturel sans précédent pour le pays. En se concentrant sur la bourgeoisie de Copenhague, sur la beauté des paysages nationaux ou encore sur eux-mêmes, les artistes ont su vivifier leur nation. Le Petit palais (Paris, 8e) vous propose de découvrir cette peinture nordique peu exposée en France.

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Le château de Frederiksborg au crépuscule (1835), de Christen Købke.

© DR

Vue de l’installation « Amalgam » au studio de Theaster Gates

La période de la ségrégation raciale aux États-Unis a ouvert une blessure qui est loin de s'être refermée. Par l'histoire peu connue de l'éviction, en 1912, d'une communauté dite « interraciale » d'une île de l'État du Maine, Theaster Gates explore, dans son exposition « Amalgam » au Tate Liverpool, les inégalités et les problèmes de cohabitation liés à la couleur de peau. Son approche engagée et sa pratique difficilement classable sont un bel exemple de ce que l'art contemporain a à offrir.

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Vue de l’installation « Amalgam » au studio de Theaster Gates.

© Theater Gates, photo de Chris Strong

Anthropométrie de l'Époque Bleue (ANT 82) (1960), de Yves Klein.

Au XXe siècle, la société moderne se découvre une fascination pour les origines de l’homme. Un passé lointain et mystérieux aux antipodes de notre mode de vie présent, mais qui va pourtant inspirer un grand nombre d’artistes. Quels liens peuvent avoir l’art le plus ancien et l’art moderne ou l’art contemporain ? Voilà tout le sujet de l’exposition « Préhistoire, une énigme moderne » au Centre Georges-Pompidou (Paris, 4e).

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Anthropométrie de l'Époque Bleue (ANT 82) (1960), de Yves Klein.

© Succession Yves Klein c/o ADAGP Paris

Pages de « Un récit visuel de la révolution » (1979), de Seifollah Samadian.

Le livre de photographie, par sa succession d’images, offre une narration universelle. Quand celui-ci est produit dans l’espoir de politiser le plus grand nombre afin de bouleverser un pays, il devient un outil puissant. L’exposition « Hannah Darabi. Rue Enghelab, la révolution par les livres. Iran : 1979-1983 » au BAL (Paris, 18e) nous dévoile une collection d’ouvrages qui nous plongent dans l’intimité censurée de la révolution iranienne.

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Pages de Un récit visuel de la révolution (1979), de Seifollah Samadian.

Performance d'Aerocene Explorer à Salinas Grandes de Jujuy, Argentine (2017).

Ce n’est pas une nouvelle, notre façon de vivre modifie négativement l’environnement dans lequel nous, mais aussi le reste des organismes vivants, vivons. S’il est plus facile de nier ou de crier au complot, à la manière des climatosceptiques, il est aussi possible d’imaginer comment agir autrement. C’est ce sur quoi Tomás Saraceno planche, et ce, de plusieurs manières. Le palais de Tokyo (Paris, 16e) a donné carte blanche à l’artiste argentin, qui a investi les lieux, dans le cadre de l’exposition « ON AIR », pour nous présenter sa vision de l’avenir.

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Performance d'Aerocene Explorer à Salinas Grandes de Jujuy, Argentine (2017).

© Photography by Joaquin Ezcurra / Courtesy of the Aerocene Foundation and CCK Agency

Pablo Picasso, La Famille de Saltimbanques, 1905.

Connu pour son faste et ses œuvres colorées aux multiples facettes, Pablo Picasso est aussi et avant tout un artiste précoce dont les amateurs appréciaient peu le travail. Malmené par la vie dans sa jeunesse, il laissa parler ses émotions par le biais d’un art dominé un temps par le bleu, puis par le rose. Associé au musée national Picasso-Paris (Paris, 3e), le musée d’Orsay (Paris, 7e) présente une exposition d’ampleur sur ces deux périodes de l’artiste.

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Pablo Picasso, La Famille de Saltimbanques, 1905. Washington, National Gallery of Art.

National Gallery of Art © Sucession Picasso, Paris 2018

Les Mangeurs de pomme de terre (1885), de Vincent Van Gogh

Le XVIIIe siècle sonne le glas de l’incroyable prospérité des Provinces-Unies, ruinées par la guerre et par la chute de leur empire commercial. Sombre reflet d’une nation en berne, la peinture néerlandaise se morfond dans la nostalgie des maîtres du siècle précédent. Au XIXe siècle, leur séjour à Paris, centre du monde artistique, leur apportera un nouveau souffle. Tel est le thème de l’exposition temporaire du Petit palais (Paris, 8e) : Les Hollandais à Paris, 1789-1914.

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© Van Gogh Museum, Amsterdam (Vincent van Gogh Foundation)

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